Écouter, mobiliser et coopérer autour du Projet Fédéral Présentiel

• Salarié·es 
  Personnes en situation de handicap : des conditions d'accessibilités peuvent être mises en place. Merci de nous en informer avant afin de convenir ensemble des modalités d'accueil.

Disposer d'un niveau B2 de compréhension et d'expression de la langue française afin de suivre au mieux l'action de formation.

• Faciliter l’écoute, la circulation de la parole et la coopération
• Mobiliser un collectif autour d’un projet commun
• Mettre en œuvre des démarches participatives adaptées aux réalités de terrain
• Être capable d’analyser les obstacles individuels, organisationnels ou territoriaux à l’engagement des habitant·es et des équipes
• Développer des pratiques professionnelles qui soutiennent l’autonomie, la prise d’initiative et la co-responsabilité, en s’appuyant sur les ressources, compétences et expériences des participant·es.

Comprendre les enjeux de la mobilisation autour du projet fédéral

 

• Situer les enjeux sociaux, politiques et éducatifs du projet fédéral dans les dynamiques locales des centres sociaux.

• Relier sens, action quotidienne et participation des habitant·es.

• Développer une capacité à mobiliser un collectif autour de principes communs, en explicitant intentions, objectifs et processus participatifs 

• Identifier les freins à l'engagement et expérimenter des stratégies pour lever ces freins.

Acquérir des techniques favorisant la mobilisation

• Approfondir les pratiques d'écoute active, de reformulation et de prise en compte des vécus.

• Poser un cadre de fonctionnement collectif et faciliter la coopération au quotidien.

• Mobiliser des méthodes d'animation facilitant l'expression : débat mouvant, interview mutuelle

• Mobiliser des méthodes favorisant l'analyse collective : l'arpentage, le GroDébat, l'entraînement mental et/ou le théâtre de l'opprimé·e

• Élaborer un mini-déroulé d'animation adapté à une situation réelle (réunion d'équipe, mobilisation d'habitant·es, réunion partenaires…).

Type d'évaluation mise en place pour cette formation :

• Exercices
• Mises en situation
• Jeu de rôle
• Construction collective d'un contenu

Jour 1 

• Présentation du cadre de la formation et de l'organisme de formation
• Inclusion
• Les freins et les leviers à la mobilisation autour du projet fédéral
• Expérimentation du Groupe d'interview mutuelle et entraînement à l'écoute active suivie d'un apport méthodologique
• Apport sur l'éducation populaire et la Démocratie

• Expérimentation d'un débat mouvant sur le thème du projet fédéral suivi d'un apport méthodologique

• Expérimentation d'un arpentage suivi d'un apport théorique
• Bilan de la journée

Jour 2 

• Inclusion
• Expérimentation d'une méthode d'analyse collective (GroDébat, théâtre de l'opprimé, entraînement mental) suivi d'un apport méthodologique
• Apport sur les ressorts de la mobilisation collective 
• Ateliers d'appropriation des contenus de la formation dans les réalités professionnelles
• Bilan de la formation

Animation participative de la formation.
Alternance entre des exposés théoriques en plénière et des échanges en petits groupes.
Les apports méthodologiques et théoriques seront illustrés d'exemples concrets et d'études de cas.
Les méthodes seront transmises en partant des réalités concrètes et enjeux des participant·es.

Salle de formation équipée : paperboard, mobilier amovible
Supports pédagogiques adaptés

QUIDORA MORALES
Je suis diplômée d'un Doctorat en Sociologie dont la thèse s'intitule : Contre-pouvoir, technicité et action associative. Formatrice depuis 20 ans, d'abord au sein de l'IRTS de Lorraine, puis au sein d'une coopérative d'éducation populaire, je déploie aujourd'hui des formations et des accompagnements portant sur les démarches participatives, le développement du pouvoir d'agir la lutte contre les discriminations, la coopération en équipe, la structuration démocratique interne, la fabrication collective d'un projet associatif ou de service.
J'aime mobiliser les grilles de lecture des Sciences sociales au service des groupes que je forme et accompagne. Pour moi, la théorie n'est pas une fin en soi mais un moyen d'enrichir l'analyse des expériences afin que chacun·e puisse agir sur les réalités vécues par les collectifs.